Fouleck [ The Story ]

Prologue

Depuis un certain temps, le petit Fouleck, quatorze ans, entend des voix l'appelant au secours, et lui disant de rejoindre les siens. Il se croit dérangé, perturbé par l'abus de jeux vidéos car, entendre des voix n'est pas normal sur terre, même si la plupart de ses camarades le décrivent pas normal. Aujourd'hui, un lundi de Septembre, il rentre de l'école plus tôt que prévu car son professeur de Français est absent.

Chapitre 1 - Révélations

Il ouvrit la porte de l'appartement situé Place Du 8 Mai 1945, et entra. Il entendit alors que ses parents étaient en pleine dispute. Dés qu'il entendit son prénom dans la conversation, il s'y intéressa un peu plus.
_ Il n'est pas notre enfant ! Il faut lui dire, c'est de lui dont il s'agit, lança sa mère, énervée.
_ Mais...tu n'imagines pas le choc qu'il aura s'il l'apprend ?! répliqua le père.
_ Il a quatorze ans, il doit savoir ! On l'a adopté, il faut qu'il sache la vérité !
Ces mots eurent l'effet d'un coup de massue sur le jeune homme. Il tourna alors les talons et repartit, le coeur brisé.
Marchant, guidé par un vent d'Automne froid, emportant les feuilles mortes couleur rouge délavé, Fouleck partait en direction de l'orphelinat le plus proche, où il espérait trouver les réponses à ses questions. Il s'arrêta à l'arrêt de bus prêt de la mairie. Quelques minutes plus tard, le car arriva et il y monta. Il vida ses poches pour payer le chauffeur et s'asseya sur une banquette aux fauteuils arrachés.
Le véhicule s'arrêta devant l'orphelinat. Fouleck entra dans le bâtiment. Il y vit des enfants, jouant avec d'autres. Aucun d'eux n'éprouvait le même sentiment que l'adolescent les regardant. Tous étant habitués à cette vie sans parents. Il n'arrivait pas à comprendre comment ils pouvaient avoir de tels sourires, alors que lui était au bord des larmes, mais se retenait par fierté. Une jeune femme arriva alors.
_ Bonjour ! Je peux t'aider ? demanda-t-elle.
_ Heu oui, répondit-il d'un ton hésitant, frappé par un angoisse lui faisant perdre tous ses moyens.
_ Entres, lui dit-elle en lui ouvrant la porte d'une salle près d'elle.
Il avança et s'assit devant le bureau, la femme sur ses talons.
Il lui expliqua sa situation. Elle chercha dans ses dossiers et y trouva un petit dossier contenant quelques feuilles.
Elle lui expliqua qu'il avait passé quelques mois dans cet orphelinat puis a été donné à un couple ne pouvant pas avoir d'enfants.
_ Et qui sont mes vrais parents alors ? demanda Fouleck.
_ Nous n'en savons rien, désolé...Je peux juste te dire que tu as été trouvé dans un champs près du terrain de foot de ta ville. Tu avais un médaillon avec toi.
_ Un médaillon ? répéta le jeune homme, intrigué. C'est donc ce médaillon ! Ils m'avaient dit que je jouais avec étant petit...
Après avoir entendu une partie de son histoire, Fouleck repartit à Aulnoye-Aymeries, sa ville. Il n'avait qu'une seule envie : aller au champs ! Ce qu'il fit.
_ Alors c'est ici qu'ils m'ont trouvés...
_ Eeet oui...! soupira une voix, une de ces voix qu'il entendait sans cesse.
Il sursauta presque, pensant être seul mais, jamais il n'avait été seul, ces voix lui parlait, selon ce qu'il faisait, comme ci elles étaient là, avec lui, voyant ce qu'il faisait.
_ Qu'est-ce que vous me voulez encore ? demanda Fouleck, que j'aille vous aider c'est ça ?
_ Oui, aide-nous ! Nous t'attendons !
_ Pff ! Vous aider ! Qu'est ce que j'peux faire pour eux ? Je n'sais même pas qui je suis...
_ Nous savons qui tu es !
_ Ah oui ? Et je suis votre sauveur c'est ça aussi ?
_ Non, tu es Fouleck, le fils de notre majesté.
_ Fils de sa majesté...Vous ne trouvez rien d'autre à dire...
_ Mais c'est vrai, tu n'es pas de ce monde même, tu viens de Minap, un monde merveilleux mais, malheureusement il est en guerre. Seul toi peux l'aider.
- Eclats de rire - _ Moi, pas de ce monde ?! répéta Fouleck, et je m'appelle E.T, j'ai trois doigts ?
_ Non, tu es le prince de Lémicie, qui est un royaume de Minap.
_ Ok, alors montrez vous ! ordonna Fouleck, je suis prince donc, vous devez m'obéir.
_D'accord, nous allons nous montrer...retourne toi s'il te plaît ?
Fouleck se retourna et...


EDIT = faute corrigée :08DJK8:

Fouleck se retourna ... et? XD
rôô tu es méchant, tu coupes comme dans les "la suite au prochain épisode" XD

Citation :

Il ouvra > ouvrit (rôôô xD) la porte de l'appartement situé Place Du 8 Mai 1945, et entra. Il entendit alors que ses parents étaient en pleine dispute. Dés qu'il entendit son prénom dans la conversation, il s'y intéressa un peu plus.

Quelques fautes d'inattention par-ci par-là mais si tu postes la suite, je lirai =)

j'ai fait une faute pareille ????!!!!!!!!!!!! Désolé 1000 fois ! xD ça me ressemble pas ça ! Ok, je poste ça de suite, j'ai 6 chapitres en réserve de toute façon ^^

Et oui ça met du " suspens " la dernière phrase ^^

Chapitre 2 - Révélations (2)

Fouleck se retourna et fut aveuglé par une lumière blanche éblouissante. Deux êtres venaient d'apparaître. Elles étaient grandes, se ressemblaient mais des caractères bien précis donnaient une grande contraste :

Le premier était vêtu d'une longue cape blanche, le visage bienveillant et de longs cheuveux blonds presque blancs tombaient dans son dos. Le deuxième était au contraire, vêtu d'une cape noire et avait un visage vicieux. Tous deux portaient une grande et lourde épée à la ceinture et avaient sur la poitrine un signe qui, étrangement, intrigua Fouleck, mais il ne put leur demander ce que c'était, il était abasourdi devant ce qu'il voyait.
_ Vous...êtes ré...els ?!
_ Bien sur.
_ Tu nous crois maintenant ?
_ Oui...moi qui croyais que Victorien me jouait un sale tour...Oui je vous crois.
_ Alors viens sur Minap !
_N...non ! J'ai des amis et de la famille ici...
_ De la famille ?! Tes vrais parents vivent sur Minap !
_ Quoi ?! Mes parents...sur Minap ?!
_ Oui, ton père le Roi, et ta mère la Reine.
_ Alors je viens ! s'exclama Fouleck, soudain motivé par l'idée de voir ses parents.
_ Merci de vouloir nous aider ! Maintenant, tu vas devoir retourner chez tes parents adoptifs, annonça Népion, l'être habillé de noir.
_ Hein ?! Mais pourquoi ?
_ Car le médaillon se trouve là-bas, tu sais, ce même médaillon que tu portais lorsque tu es venu ici. Il est comme une porte entre Minap et ici.
_D'accord, dit Fouleck.
_ On se rejoint ici, demain à midi.
Ils disparurent, laissant seul Fouleck, excité, mais à la fois contrarié, il devait retourner chez ses parents adoptifs.

Il était minuit moins le quart lorsqu’il arriva sur la Place Du 8 Mai. Il fit bien attention car ses parents adoptifs devaient sûrement être très attentifs depuis sa disparition. Il essaya de grimper à sa fenêtre mais, au moment où il pénétrait, la voisine cria :
_Fouleck ! descends de là !
Elle le tira par le pied mais il se débrouilla pour laisser tomber la chaussure par laquelle elle le tenait. Il passa la fenêtre et chercha dans sa chambre. Il ouvrit une vieille armoire et fit tomber un vase .Le bruit avertit ses parents de sa présence. En vitesse, il prit le médaillon qui était au fond de l’armoire. Il sortit en vitesse par la fenêtre et courut aussi vite qu’il le pouvait.
Arrivé près du Château d’eau, il s’arrêta, essoufflé, avec un point de côté. Il contempla la lune qui illuminait le ciel accompagnée des étoiles, puis alla dans le vieux collège abandonné, s’allongea sur un tas de cartes géographiques défoncées et de coussins déchirés. Il repensa a tout ce qui s’était passé ce jour. Il contempla le médaillon et vit qu’il y avait des gravures étranges dessus, comme sur les poitrines de Cépion et de Népion. Il le serra dans sa main et s’endormit.

Le lendemain matin, le soleil se leva et le reflet de celui-ci sur les débris de verre réveilla Fouleck.

Il se leva, alla au cimetière près du collège, se lava les mains, le visage et les bras avec le robinet qui servait normalement à remplir les vases. Après s'être lavé, il partit au marché pour y voler quelques fruits pour le déjeuner. Sur la route du marché, il se rappela qu’il devait être à midi dans le champs de maïs et se rendit compte qu’il avait oublié le médaillon au collège. Il courut comme un dératé dans le sens inverse. Lorsqu’il arriva, il ne trouva rien. Il fouilla le collège, d'abord l'entrée, puis les escaliers, puis la salle qui lui avait servi de chambre la nuit passée. Il ne trouva rien.
Désespéré, il repartit au marché la tête baissée. Il n’irait pas sur Minap et ne connaîtra pas son père ni sa mère.
Après avoir volé quelques pommes et quelques poires, il bouscula un vieux vagabond qui jouait aux cartes avec d’autres et vit que l'un d'eux dormait au collège au même étage que lui. Il le regarda quelques secondes et vit qu’il avait misé un objet qui, aux yeux de Fouleck était très familier. Le vieux avait effectivement joué le médaillon de Fouleck. Celui-ci fit semblant de tomber sur la table de jeu et lorsqu’il tomba, d'un petit geste discret, emporta le médaillon et courut.

Il retourna au champs de maïs et attendit là, allongé sur le maïs. Il resta là à contempler le ciel. Il ignorait totalement ce qui allait lui arriver, il attendait avec impatience la venue des deux émissaires. Puis il entendit la cloche de l’église sonner midi. Il se leva et, à peine avait-il posé le pied à terre qu’il vit la même lumière aveuglante qu'il avait vu la veille et les deux créatures arrivèrent de nulle part.
_ Tu es prêt ? demanda Cépion.
_ Je vois que tu as réussi à récupérer le médaillon, dit Népion qui regarda autour du cou de Fouleck.
_ Oui je suis prêt. répondit Fouleck.
_ Donne moi le médaillon s’il te plait, demanda Népion.
Fouleck le lui donna et lorsque Népion l’eut dans les mains il se rapprocha de Cépion et de lui. Il l'ouvrit et, échappa et une seconde plus tard, il y eut comme un tourbillon de fumée, et, Fouleck et les deux émissaires furent emportés.
Ils tournoyèrent durant une minute.

Ca fait 10 heures que je cherche "quand ou avec qui" j'ai déjà entendu ou vu le prénom "Fouleck"..... Je viens de capté que c'était le prénom de ton perso pour Mugen

J'accompagne Bp pour lire la suite si tu la posts ^^

Je tarde à lire, mais je veux bien la suite, puisque je viens de le faire =)

Bonsoir !

Merci de lire lol !
Sensei > en parlant de Mugen, récemment j'étais chez un pote qui m'a montré un jeu de pc ( combat ) qui s'appelait Mugen aussi ^^ Je connaissais pas mais ce jeu est trop marrant ! Les personnages sont à télécharger et ce sont tous les personnages qui ont marqué l'histoire du jeu vidéo, de la science fiction, dessin animé etc... ça part d'Omer Simpson jusqu'à Alien ou encore DBZ xD. Ca a un rapport avec le projet Mugen ou pas du tout ???




Fouleck ouvrit les yeux et devant lui, le champs de maïs avait disparu. A présent, une forêt se dressait là. Une forêt comme il n'en avait jamais vu avant. Ses arbres étaient beaucoup plus grands que ceux qu'ils connaissaient. Des oiseaux volaient, chantaient. Des animaux marchaient, les regardant. Fouleck, qui n'avait connu que l'asphalte de la Place Du 8 Mai, était émerveillé.
_ Bienvenue chez vous, mon prince ! lancèrent Cépion et Népion.
_ Merci, répondit-il.
_ On y va ? Le Roi vous attend.
_ Mais...depuis que je vous ai vus, vous ne me parlez que de mon père qui m'attend. Mais et ma mère ? demanda le nouveau prince.
_ Votre mère...commença Cépion.
_ Ce n'est pas à nous de vous expliquer, coupa Népion.
_J'exige de savoir !
_ Désolé...votre père, notre Roi vous expliquera.
_ Ne tardons plus ! s'exclama Népion, il faut y aller.
Les deux envoyés commencèrent à marcher. A peine avaient-ils fait dix pas qu'ils étaient à plus de trois cents mètres.
_ Hey ! Attendez-moi ! cria Fouleck.
_ Ah, excusez-nous...
_ Je ne peux pas aller aussi vite que vous !
_ Oui, dans ce monde, si vous possédez de la magie, vous pouvez courrir extrêmement vite, avoir une force colossale, voler ou encore jeter des sorts.
_Et moi je ne possède pas de magie, malgrès que je sois né ici ? demanda Fouleck.
_Cela fait presque treize ans que vous êtes venus ici, il faut le temps que ça revienne.
_Ca prendra longtemps pour revenir ? questionna le prince.
_Quelques jours. Bon ! Fini les bavardages, nous allons partir à votre vittesse.

Vingt minutes plus tard, ils étaient à quelques mètres de l'entrée du chateau.
_C'est ici que j'habite ? s'exclama Fouleck.
_Bien sur, votre place est ici.
_Mais...nous allons devoir vous changer, lança Népion, vos vêtement ne sont pas appropriés à votre classe sociale, vous êtes un prince.
_Non, je suis bien comme ça, répliqua Fouleck.
Il portait un jean large, une veste noire et un bonet, le style d'un adolescent terrien.
_Bon ok mais, aucun vêtement serrant ! Pas question que j'porte un " slim " !
Népion pointa son index vers Fouleck et, un instant plus tard, celui-ci était relooké : il portait à présent une longue cape beige, ornée de motifs dorés, s'arrêtant aux genoux, semblable à celles de Cépion et Népion. En dessous, il portait un pantalon de la même couleur, ressemblant à un survetement, laissant juste dépasser des bottes blanches. Il portait aussi sur la tête ce qui ressemblait à un turban.
_Eh ! J'ai la classe comme ça ! s'exclama Fouleck.
_Tel un prince...
Ils passèrent une barrière se retrouvèrent maintenant dans un immense jardin, dont un lac était le centre. Au bout de cette vaste étendue se trouvait l'entrée du chateau. Ils s'y rendirent et entrèrent. Ce que Fouleck vit à l'intérieur était à peine croyable. Le chateau était immense, des tableaux accrochés sur ses murs. Aussi, il y avait les vitraux aux motifs joyeux qui se reflètaient sur le sol grace au soleil, et des armures étaient placées dans les couloirs. Cépion et Népion le conduirent dans un bureau. Lorsqu'il entra, il vit, assis sur une chaîse au dossier haut, un homme chauve, une couronne sur la tête, qui le regardait.
_Fouleck ! s'exclama celui-ci.
Cépion et Népion s'abaissèrent pour saluer leur Roi.
_Bon...bonjour, lança Fouleck, timide.
_Mon fils ! s'exlama le roi, viens donc t'asseoir aux côtés de ton père !
Fouleck, ému, alla s'asseoir sur la chaise placée à gauche de celle du roi.
_Des souvenirs te reviennent-ils depuis ton retour ?
_Non, aucun...
_Cépion, Népion, appela le roi, dîtes-moi, sait-il quelque chose au sujet de mon épouse ?
_Non, nous vous avons laissé lui expliquer vous-même. Avons-nous bien fait ?
_Oui oui. Bien...vous pouvez disposer.
Les deux émissaires s'en allèrent, laissant Fouleck et son père seuls.
_Ma mère...où est-elle ? demanda le prince.
_Ta mère est...partie du royaume...
_Comment ça ?!
_Un jour, avant la guerre, elle est repartie dans son royaume d'origine, Ménicie, sans donner aucune raison. Tu avais déjà été envoyé dans cet autre monde par un envoyé Ménicien...
_Mais...
_Je sais, c'est dur mais, c'est elle qui l'a choisit...Bon, je vais te montrer ta chambre, ajouta-t-il.
Ils sortirent de la salle.
Après quelques minutes de marche, de discussions, ils arrivèrent devant une porte.
_C'est ici.
Il ouvrit et, devant eux se trouvait une immense salle. Le sol était recouvert d'une moquette bleue aux motifs clairs. Un lit de deux places était là, au milieu de la pièce. Une baignoire de dix mètres sur dix était tout au bout de la chambre et d'autres meubles et fauteuils s'y trouvaient.
_Voila ta chambre ! annonça le roi.

kimyo a écrit:

Bonsoir !

Merci de lire lol !
Sensei > en parlant de Mugen, récemment j'étais chez un pote qui m'a montré un jeu de pc ( combat ) qui s'appelait Mugen aussi ^^ Je connaissais pas mais ce jeu est trop marrant ! Les personnages sont à télécharger et ce sont tous les personnages qui ont marqué l'histoire du jeu vidéo, de la science fiction, dessin animé etc... ça part d'Omer Simpson jusqu'à Alien ou encore DBZ xD. Ca a un rapport avec le projet Mugen ou pas du tout ???

Uyah non aucun rapport >< Je ne connaissais même pas !

D'ailleurs en parlant de Mugen, il faudrait peut-être que je m'y remette ^^ En attendant....... la suite !

Chapitre 4 - L'Espion
Fouleck s'installa dans sa chambre, sur son lit, perdu dans ses pensées. Au bout d'un certain temps, il se leva et alla regarder à la fenêtre. Elle était déjà ouverte. Le jardin était paisible, presque silencieux.
C'est alors qu'il entendit des voix, provenant de ce même jardin qu'il regardait. Deux gardes tenaient une bête, mesurant environ soixante centimètres.
_Lachez-moi ! crait l'animal.
Les gardes restèrent silencieux et l'emmenèrent à l'intérieur du château.
Quelques minutes plus tard, quelqu'un toca à la porte de sa chambre, et il alla ouvrir. Une femme inclinée devant lui respectueusement était là.
_Je vous prie de m'excuser, mais le Roi vous appele, lança-t-elle.
_Oui, où se trouve-t-il ? demanda Fouleck.
_Dans le hall du château monsieur, répondit-elle.
_Merci, j'y vais de suite...
Et il s'en alla, descendant les marches des escaliers, jusqu'à arriver dans le hall, où se trouvait son père, les deux gardes qu'il avait vus, et l'animal.
A présent, il le voyait de près. Il avait un pelage jaune orange. Ses oreilles mesuraient la moitié de sa taille et retombaient sur sa tête.
_Vous m'avez appelé ? demanda Fouleck.
_Oui, je souhaiterais que tu assistes au jugement de cet espion qui, est venu récolter des informations sur ta venue.
_Il est du royaume de...
_Oui, de la Reine de ce royaume.
_Euh...oui je veux bien assister au jugement.
_Très bien, alors allons-y.
Ils allèrent dans une salle, dans laquelle se trouvait déjà des hommes. Ils s'aseyèrent à la table la plus longue, se trouvant au fond de la salle, sur une estrade.
Les gardes placèrent l'espion, menoté, en face de la table.
_A-t-on des informations sur son passé ? demanda le roi.
Un homme répondit:
_Oui, il s'appele Stein, et il fait partie des espions du royaume ennemi, Ménicie.
_Très bien, a-t-il déjà été repris par notre justice ?
_Non, mais nous savons aussi qu'il est proche d'une générale de Ménicie : Hyra.
_Que décidez vous ? demanda le Roi.
_La mort, il n'y a que ça à faire, suggéra un autre homme.
_J'approuve votre décision.
_Nooooooon !! cria Stein, toujours menoté.
_J'annonce que l'espion, Stein, sera mis à mort dans un mois, le trente Octobre, sur la place du marché ! annonça le Roi.
_Et en attendant ce jour ? demanda Fouleck.
_En attenant ce jour, il sera mis aux cachots.
Les gardes le prirent et l'emmenèrent de force.
Fouleck, choqué de ce qu'il venait de voir, repartit dans sa chambre. Il était fatigué et n'avait qu'une envie c'était de dormir.
Le lendemain, il fut présenté au peuple par son père. Il commença aussi un entraînement avec Cépion et Népion qui lui enseignèrent la magie.
Quelques semaines plus tard, il savait manier le sabre, lancer des sorts, et se battre à mains nues.
Il effectua quelques missions et dans ces missions récupéra un étrange animal, une sorte de dragon âgé de deux ans mais déjà beaucoup plus grand que Fouleck.
Ce soir là, Fouleck se trouvait dans sa chambre, et pensait à Stein, qui dans près d'une semaine, serait executé. Ces pensées l'angoissaient. Penser qu'une personne allait se faire tuer le tracassait. Il alla donc voir le Roi. Lorsqu'il arriva devant sa chambre, il vit que la porte était entrouverte et entendit son père parler bizzarement. Il s'approcha alors un peu plus de la porte et écouta.
_Sa magie ne cesse d'augmenter ! Haha ! s'exclama son père d'une voix rocailleuse, non comme celle que Fouleck connaissait.
_Il ne faut pas qu'il s'échappe du château ! lança une autre voix, sifflante, vicieuse.
_Ne vous inquiétez pas maître, répondit le Roi, il restera ici et vous pourrez ainsi vous emparer de lui.
_Cela ne fait que quelques semaines qu'il est ici et sa magie est déjà si grande...nous allons le laisser encore mûrir un peu. Ainsi, je pourrais prendre le corps de ce cher Fouleck, et m'installer sur le trône de Ménicie après avoir tué le Roi et sa fille, ta femme, lança la même voix vicieuse.
Fouleck eut l'impression que tout recommençait. Depuis le jour où il avait, comme ce soir là, écouté une conversation par curiosité. Il ne savait plus ce qu'il faisait.
Il partit alors dans sa chambre, prépara quelques affaires et sortit du château.



précisez tout ce qui pourrait me faire avancer svp

Je vois qu'on se résigne au double poste x)
UP donc.

T'as arrangé le double post où il est encore là et j'le vois pas ? XD c'est possible que je l'ai fait en plus, j'suis tête en l'air donc...

Non je poste pour que tu mettes la suite sans faire de double-post.

AAAAH XD



Bah la voila la suite x)





Le roi voulait ainsi livrer son fils Fouleck à son maître dont on ne connait pas encore l'identité.


Fouleck se dirigea vers les cachots, avec un but en tête : délivrer Stein. Il descendit l'escalier sombre y menant. Les environs étaient mal éclairés, poussiéreux, sales. Il avança. Ce n'était pas des cellules qui se trouvaient devant lui mais d'énormes sphères de métal sur lesquelles étaient écrit des noms, des noms de prisonniers enfermés à l'intérieur. Il marcha en regardant les noms inscirts dessus jusqu'à trouver celui de Stein.
_ Et comment je fais pour l'ouvrir maintenant ? s'interrogea-t-il.
Il regarda autour de la sphère et trouva un creux, à la forme arrondie. En regardant plus attentivement, il vit que les mêmes dessins étranges que sur son médaillon étaient là. Il sortit alors son propre médaillon, et l'enfonça dans ce creux. Soudain, la sphère disparue, laissant tomber le médaillon dans un petit bruit métallique. Le petit animal était à présent allongé sur le sol, des fers aux bras et aux pieds. Voyant qu'il était évanoui, Fouleck le prit sur ses épaules et courut. Il remonta les escaliers et alla devant la porte principale du château. Un garde était posté dans le hall. Il courut le plus vite qu'il put et passa la porte mais, le garde l'avait repéré. Fouleck continua de courir dans le vaste jardin, suivit par le garde qui commençait à jeter des sorts.
_ Ah ouais ? Tu veux sortir les sorts ? Alors prends ça mec ! lança Fouleck.
Il continuait de courir, mais il regardait derrière lui. Il jeta alors un sort qui toucha le garde qui tomba mais, sans voir où il marchait, Fouleck trébucha sur une pierre. Il eut le temps de relâcher Stein avant de tomber dans le lac du château. L'eau était gelée. Un tel froid lui donna mal à la tête. Il s'enfonçait de plus en plus dans les profondeurs du lac. Au bout d'un moment, il atterrit sur ce qui lui semblait être du fer. Il regarda et, en effet, c'était du fer. Une chaîne. Il nagea du mieux qu'il put dans la direction de cette chaîne jusqu'à arriver face à un vieil homme, ronflant sous l'eau. Fouleck en était ébahi. Ronfler sous l'eau était impossible, même dans ce monde. Il s'approcha du vieil homme. Il le secoua pour le réveiller. L'étrange vieil homme ouvrit les yeux, et surprit, il poussa un petit cri qui fut déformé par l'eau. Fouleck commençait à manquer d'oxygène.
_ Qui es-tu pour venir me déranger dans mon sommeil ? demanda le vieil homme.
Fouleck le regarda, dépassé de voir que l'homme parlait sous l'eau, sans avoir besoin de respirer, alors que lui allait bientôt devoir remonter à la surface pour ne pas mourir noyé.
_ Ah oui c'est vrai, tu ne peux pas me répondre sous l'eau, soupira le vieux.
Il pointa son doigt sur Fouleck, et un instant plus tard, il ouvrit la bouche.
_ Quoi ?! s'exclama Fouleck, surpris de voir qu'il pouvait parler.
_ Voila, maintenant, dis moi qui tu es.
_ Je...je suis Fouleck, prince de ce château.
_ Le prince ?! Mais où est passé le vrai prince, le prince Roka II ?
_ Un autre prince ? Mais non, je suis le prince, répliqua Fouleck.
_ Attends voir, c'est quoi cette barbe que j'ai sur le menton ? Et c'est mains ridées ?! En quelle année sommes-nous ? demanda le vieil homme.
_ En 2008, répondit Fouleck.
_2008 ?! répéta le petit vieux.
_Oui.
_J'aurais dormi plus de cent cinquante ans...
_Comment ça plus de cent cinquante ans ?
_Bah oui, il y a cent cinquante ans que je suis prisonnier dans ce lac, expliqua le vieil homme.
_Prisonnier ? répéta Fouleck.
_Oui, il y a bien longtemps, j'étais un des soldats préférés du Roi, mais un jour, je fut condamné à rester ici, car j'avais eu comme une vision.
_Une vision ?
_Oui. Une vision disant qu'un jour, sept générations plus tard pour être précis, le royaume tomberait entre les mains du mal, et que le roi nommé sept générations plus tard, serait tué par son propre fils. Je devais être mis à mort mais, étant un des meilleurs soldats du royaume, j'ai juste été condamné à rester ici...

UP du chapitre 6, j'ai rajouté la fin...




Fouleck le regarda, son histoire le toucha. Il réfléchit alors. Sept générations plus tard, ça donne...il fut interrompu par le vieux qui reprit la parole:
_ Moi c'est Bnark !
_ Ah oui...répondit-il, surprit.
_ Je te remercie infiniment de m'avoir réveillé, cela m'a fait du bien...ça faisait cent cinquante ans que je n'avais pas vu quelqu'un...Je ne sais pas quelle récompense je peux t'offrir...
_ Mais...je n'veux aucune récompense !
_ Si si ! Je vais t'offrir mon épée ! Je l'ai forgé à l'âge de dix neuf ans.
Il leva la main et là, apparut une épée magnifique, une épée en argent à trois lames. Bnark la lui tendit et Fouleck, débordant d'excitation, ne put que serrer la poignée de l'épée. Malgré ses trois lames, elle était très légère, même sous l'eau.
_ Elle est à toi.
_M...merci...
_ Mais de rien. Au fait, que fait un prince Lémicien dans le lac du château ?
_ Heu bah...je suis en route pour Ménicie, mais je suis tombé dans l'eau...
_ Ah, mais, tu es trop jeune pour partir si loin. Les terres qui séparent les deux royaumes sont vastes et le climat change: il y a un désert et, quelques kilomètres plus loin, des collines, des champs de blé, des forêts...
_C'est pas grave, je dois y aller à tout prix !
_ Bien sur, je comprends, les missions attribuées aux princes sont toujours importantes.
_ Bon, moi j'y vais alors, merci encore pour l'épée !
_ De rien ! Reviens me voir quand tu pourras !
_ Promis !
Il remonta à la surface et vit Stein, toujours inconscient. Il le prit sur son épaule et recommença à courir. Il passa par la grotte où était la bête ressemblant à un dragon que Fouleck avait appelé Rubis.
_ Rubis, appela Fouleck.
L’animal arriva en marchant vers lui et Fouleck réveilla Stein.
_ Hein ? Où suis-je ? demanda-t-il.
_ Salut !
_ Ah ! Mais…tu es Fouleck !
_ Oui, je t’ai délivré.
_ Quoi ? Mais tu es fou ! Et le roi… ?
_ Je t’expliquerais plus tard, pour le moment, il faut y aller !
Il se leva et suivit Fouleck qui s’apprêtait à monter sur l’animal ailé et monta à son tour.
Le dragon s’avança hors de la grotte et s’envola.

Ils volèrent durant quelques heures, puis s’arrêtèrent devant une grande cascade où ils passèrent le reste de la nuit.

Les premiers rayons de soleil vinrent réveiller les deux voyageurs. C’est alors que Stein, engagea la conversation :
_ Alors, tu m’expliques ce qu’il s’est passé hier ?
_ Et bien, parce que j’ai découvert que le Roi complote et veut se servir de moi…
_ Ah bon ?! Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Foule raconta la scène de la veille en détails.

J’en étais sûr ! C’est ce qu’on pensait ! s’écria Stein à la fin du récit.
_ Comment ?!
_ Oui, alors que la guerre entre Ménicie et Lémicie n’avait pas encore eu lieue, il y avait un homme, d’une tribu lointaine, devint le représentant du mal. Sa tribu, avait une obsession : être sain et pur ! Et pour réaliser cela, ils déversaient tout le vice qui se trouvait en eux dans un énorme récipient de plusieurs mètres de haut. Mais un jour, cet homme, qui passait par là, tomba dans ce récipient. Tout le mal se trouvant dans ce récipient fut absorbé. C’est alors qu’un changement eut lieu : la gentillesse et la générosité de cet homme se changea en vice pur ! Il conquit quelques territoires et y fit régner la terreur et réunit des armées d’hommes surpuissants, et de créatures féroces. Un jour, un voyageur est passé près de l’énorme récipient maintenant vide. C’est alors qu’à proximité de ce même récipient, il trouva une pierre précieuse mauve, inconnue. Ne sachant pas ce que pouvait être cette pierre, il se dirigea chez un orfèvre connu pour ses connaissances en pierres. Ce même orfèvre examina la pierre et, sans faire exprès, la brisa en sept parties. Ces fragments se dispersèrent dans le monde. Quelques mois plus tard, sept royaumes naquirent, et pour chacun des sept royaumes, un gouverneur maîtrisant un élément de la nature : le feu, l’eau, le vent, la foudre, les végétaux, la terre, et la glace. Toutes ces créatures gouvernèrent, avec un seul maître : Malvolio, l’homme tombé dans le vice…
_ Stein, tu t’éloignes là !
_ Oui mais attends ! Donc, Malvolio, avait un but : conquérir le monde pour le gouverner. Il avait donc besoin de deux des plus grands royaumes : Lémicie et Ménicie. Il a donc décidé de prendre possession de l’esprit de ton père. Même avant que tu ne sois envoyé sur terre, nous soupçonnions cela. Et mon avis à moi, en tant qu’espion, c’est que Malvolio ne cherche qu’une chose : TOI !!




Voilà donc le chapitre 7, que j'ai eu le temps d'écrire en vacances ^^




_ Quoi ? Moi ? Mais pourquoi ? demanda Fouleck, choqué.
_ A cause d’une soit disant prophétie, dans laquelle il est dit qu’une centaine d’années après la mort du roi Roka II, un de ses descendants, né d’une alliance pacifique entre deux grandes puissances, détrônera son géniteur pour prendre sa place, à la tête de Lémicie. Elle dit aussi que ce descendant détiendra un pouvoir encore inconnu de nos jours.
_ Et vous avez pensé que ce descendant serait moi ?
_ Et bien…tous les éléments concordent… Tu es né près de cent ans après la mort du roi Roka II, tu es né d’une alliance pacifique entre deux grandes puissances, Lémicie et Ménicie, et tu aurais des raisons de le tuer.
_ Oui mais pourquoi Malvolio me voudrait-il ?
_ Parce que, si tu es le descendant de la prophétie, tu détiens un puissant pouvoir, et s’il t’a, il prendra possession de celui-ci, mais aussi des deux royaumes dont tu seras sûrement à la tête plus tard.
_ Mais je n’ai pas ce pouvoir ! Je me débrouillais en magie à l’entraînement mais rien de plus…
_ Je vais te dire une chose : tu viens d’arriver dans ce monde, tu ne connais rien à la magie à part quelques sorts simplistes, la magie, elle se développe ! Cela peut prendre des années, mais peut aussi, au contraire, se faire très rapidement…
_ Mmmh… mouais, mais si Malvolio me cherche ça veut dire que je cours un grand danger… on va se dépêcher d’aller en Ménicie ! Je veux continuer mon entraînement ! Et ainsi, je pourrais arrêter ce mal qui ronge ce merveilleux monde !
Une volonté, une détermination plus que forte l’envahit…
Trois jours plus tard, dans un petit pub destiné aux voyageurs.
Assis à une table dans le fond de la petite cabane, les deux voyageurs se rassasiaient. Ils parlaient de ce monde, Stein expliquait à Fouleck que ce monde était un monde parallèle à la terre.
_ Sur terre, il y a, si ma mémoire est bonne, six entrées vers notre monde…dont une dans la ville où tu as été envoyé…
_ Ah bon ! Mais, comment t’expliques que personne ne soit jamais venu alors ?
_ Ca c’est parce que personne ne sait qu’un passage existe, et encore moins un passage vers un autre monde.
_ Mmmh mouais n’empêche que n’importe qui passant par là peut bien débarquer ici…
_ Non je ne pense pas ! Toi, tu es venu ici grâce au médaillon, et, à part toi, qui dans ton monde en possède un ?
_ Personne…enfin je ne connais personne qui en a un, et je ne connais pas tous les habitants de mon monde.
_ Bon, attends moi là, je reviens.
La petite créature s’éloigna de la table pour monter vers les chambres, laissant Fouleck seul…
C’est alors qu’un grand bruit retentit et la porte de l’auberge s’ouvrit à la volée. Une jeune femme, vêtue d’une longue cape de voyage, la tête encapuchonnée, entra dans l’auberge. Elle s’avança vers le bar, retira sa capuche. Elle avait des cheveux châtains, et des yeux marrons.
Elle regarda tout autour d’elle, puis fixa Fouleck qui prit peur. Elle s’avança vers lui.
_ Où est-il ? demanda-t-elle.
Fouleck, ne comprenant pas, resta muet.
_ Où est-il ? répéta-t-elle.
_ De qui tu parles ?! répondit Fouleck, agacé.
_ Te fous pas de moi ! Je sais très bien qui tu es ! Dis-moi où est cet enfoiré d’espion qui voyage avec toi.
Pris de panique, il ne savait plus quoi faire. Elle savait vraiment qui il était. « Peut-être est-ce une envoyée de mon père… ». Il se leva d’un bond, et essaya de concentrer son énergie dans sa main droite, comme à l’entraînement qui consistait à contrôler ses ressources, lorsqu’il était encore en Lémicie.
_ Qu’est-ce que t’essaye de f…
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que Fouleck l’avait déjà attrapée par le col avec sa main gauche, et tenta de la frapper. Mais à peine son poing élancé que la jeune femme avait déjà anticipé. Elle avait sorti ce que Fouleck décrit comme une baguette magique en la voyant. Sans que Fouleck ne comprenne ce qui venait de se passer, il se retrouva dans une bulle suspendue au dessus du sol. Il ouvrit la bouche, essaya de parler, mais ce ne furent que des bulles qui sortirent, remplaçant le son.
_ T’as encore des progrès à faire, Fouleck ! s’exclama-t-elle.
Les clients du bar étaient tous rassemblés autour de la scène.
_ Qu’est-ce que vous regardez tous là ! Allez dégagez ! lança la femme.
Apeurés, ils se précipitèrent vers la sortie, se bousculant.
_ Ah la la, les temps sont durs, les gens ont même peur de toi…Hyra ! lança une voix derrière eux.
Elle se retourna, apercevant devant elle un homme, mesurant près de deux mètres, coiffé d’un chapeau rapiécé et vêtu d’un long manteau brun.
_ T…toi ! Qu’est-ce que tu fais ici ?! s’écria-t-elle
_ Je pourrais te poser la même question. Libère-donc ce jeune prince qui est sur le point de se noyer dans ta bulle.
D’un coup de baguette magique, elle exécuta l’ordre et la bulle disparut, laissant tomber Fouleck à terre, ce qui provoqua un petit « ouille ! ».
_ Ah enfin ! Vous êtes qui vous deux ? questionna Fouleck, sur un ton défensif, prêt à riposter aux attaques possibles, des envoyés de Lémicie ?!
_ Loin de là ! Voyez-vous, moi, je ne suis qu’un simple vétérinaire, Marchal, travaillant au service de votre grand-père : le Roi de Ménicie, annonça le grand homme, je suis ici pour des recherches sur une espèce animale assez rare. Et elle c’est…
_ Hyra, 9ème soldat de la troupe 22, chargée de ramener ce boulet de Stein, coupa la femme en retirant sa capuche, aussi au service de sa majesté votre grand-père…



Le chapitre 8 est en construction ^^


Bonne soirée !!